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martes, 20 de agosto de 2013

JOYERÍA DE ARTISTA EN BILBAO - Museo de Bellas Artes

Francisco Durrio (1868-1940)

Sobre las huellas de Gauguin






Aunque poco conocido por el gran público, Francisco Durrio (Valladolid, 1868–París, 
1940) es un personaje clave dentro del arte de la primera mitad del siglo XX, tanto por la originalidad de su obra (escultura, orfebrería y cerámica) como por el papel difusor de las novedades artísticas del París fin de siglo que ejerció entre la abundante colonia que formaban, principalmente, los pintores vascos (Ignacio ZuloagaFrancisco IturrinoJuan de Echevarría…) y catalanes (Ramón Casas, Hermen Anglada-CamarasaManolo Hugué…).







SORTIJAS. HISTORIA Y SÍMBOLOS - UNA EXPOSICIÓN QUE YA FUÉ......


BaguesEn présentant sa propre collection de bagues, leSchmuckmuseum de Pforzheim donne un aperçu de la grande diversité que peuvent revêtir ces « œuvres d’art de petit format ». L’exposition « Small Size, Great Aesthetics, A Hundred and One Rings » l’atteste : les bagues peuvent avoir des formes multiples et être réalisées à partir de toutes sortes de matériaux. Il apparait également que ces bijoux ne s’apprécient généralement pas d’un simple point de vue esthétique. Ils remplissent souvent aussi une fonction symbolique. Ils marquent tantôt les étapes importantes de la vie – avec les bagues de fiançailles et les alliances -, tantôt le souvenir d’un être cher après sa mort – avec les bagues de deuil. Certaines bagues aussi sont des porte-bonheur. D’autres anneaux encore sont le signe du pouvoir, aussi bien religieux que politique : on baise l’anneau en signe d’allégeance… Les bagues sont les bijoux de toutes les époques et de tous les horizons.
Bagues anciennes
A gauche : Anneau d’amour en or et émail ? – Allemagne, vers 1820, A droite : Bague de deuil en or et émail noir et blanc – Angleterre, 1724 © Schmuckmuseum Pforzheim, photos Winfried Reinhardt

La bague comme symbole de l’amour

Depuis 3000 ans, l’anneau symbolise le lien d’amour, souligne Cornélie Holzach, directrice du Schmuckmuseum. A côté des bagues de promesse ou concrétisant l’union, les variantes sont nombreuses. Les anneaux de mariage juifs, par exemple, sont des anneaux rituels utilisés exclusivement au cours de la cérémonie. La plupart de ceux qui sont exposés à Pforzheim proviennent d’une période allant du VIIIème au XVIIème siècle. Beaucoup d’entre eux sont richement décorés à l’émail ou comportent un décor en filigrane. On y trouve souvent le Temple de Salomon ou une synagogue ou des inscriptions telles que « mazel tov ».
D’autres anneaux, qui remontent à l’antiquité, attestent que la femme qui les porte peut représenter son mari dans les affaires familiales… Ce concept de délégation de pouvoir, où l’anneau est associé à la clé, a inspiré certains créateurs contemporains tels Sebastian Buescher. Notons encore les gimmel rings, « anneaux jumeaux » qui étaient très populaires à la fin du Moyen Age et à la Renaissance. Ce « bijou évolutif » était porté suivant un rituel précis pour mener des fiançailles au mariage.
Au XIXème siècle, les gens avaient un penchant pour les anneaux d’amour comportant un cœur tenu par deux mains. De nombreux anneaux étaient dotés d’un petit compartiment pour stocker une mèche de cheveux ou une fleur séchée en tant que souvenir de la personne aimée. On remarquera que de tels compartiments ont aussi servi à contenir du poison…

Les bagues de deuil

Car les bagues peuvent aussi symboliser la mort. Celles qui comportent une faucheuse ou un squelette rappellent le caractère éphémère de tout être. Les bagues de deuil quant à elles maintiennent un lien affectif avec un défunt. Elles sont souvent ornées d’un saule pleureur ou comportent le nom du défunt et la date de son décès. Parfois une mèche de cheveux ayant appartenu à la personne aimée y est enchâssée. On peut admirer une bague en os ornée d’un cercueil et deux squelettes commémorant l’exécution de Charles Ier d’Angleterre en 1649.
Bague ancienne
A gauche : Bague scarabée en or – Grèce, IVème Siècle avant JC © Schmuckmuseum Pforzheim, photo Gunther Meyer, A droite : Bague « Sirène » en or et émail – René Lalique – Paris, 1900 © Schmuckmuseum Pforzheim, photo Günther Meyer © VG Bild-Kunst, Bonn 2013

Un bijou magique ou divin

L’anneau peut aussi être considéré comme un support magique. Sa forme même l’inscrit dans la mythologie du cercle qui n’a ni début ni fin. Les anneaux ont souvent aussi joué le rôle d’amulettes. Une chevalière égyptienne datant du 14ème siècle avant JC comporte l’œil d’Horus – hybride entre un œil humain et un œil de faucon -, symbole qui marque la victoire du bien sur le mal. Dans l’Egypte ancienne, l’œil d’Horus était également sensé fournir une protection contre les maladies oculaires. Toujours dans la même catégorie, un anneau russe du XIXème siècle de notre ère, a été gravé d’un triangle, symbole de la Sainte Trinité. Il comporte également des inscriptions explicites en allemand sur l’aide divine attendue.



JOYAS Y ADORNOS DEL ARTISTA PAUL JACOUBET HAN SIDO EXPUESTAS EN PARIS EN EL MES DE MAYO 2013

Les bijoux et parures ethniques de l’artiste Paul Jacoulet


Paul JacouletAvec l’exposition Un artiste voyageur en Micronésie, le Musée du Quai Branly à Paris réunit, pour la première fois en Europe, l’essentiel des travaux graphiques de Paul Jacoulet. Plus de cent soixante dessins, croquis et peintures ont été sélectionnés. Ils ont été réalisés de 1920 à 1950, principalement en Micronésie, mais également en Corée et au Japon. Bien avant la photographie couleur, les aquarelles et les estampes colorées de ce peintre hors normes ont su restituer l’univers bigarré de la Micronésie. Accordant une place particulièrement attentive à l’esthétique des parures, elles témoignent de l’importance de l’ornement corporel dans les pays d’Océanie.
Collier ethnique coquillage
A gauche : « Kaiman Ogarto, père de Francesco » crayon et aquarelle sur papier, Saipan, Mariannes – Paul Jacoulet, 1930 – Donation Paul Jacoulet, A droite : Le père de Francesco Ogarto, ami de Paul Jacoulet – Saipan, 1930 © Musée du quai Branly, photos Notes Précieuses

Des bijoux ethniques en coquillage, corail, fleurs

Dans les archipels de Micronésie, Paul Jacoulet a découvert des sociétés qui ont érigé la parure en expression artistique majeure. Hommes et femmes ont un même souci d’embellir leur corps avec des tatouages, des ornements de chevelure et des fleurs. Transmis d’une génération à l’autre par les femmes, colliers, ornements d’oreilles et bracelets constituent le plus précieux des héritages.
Bijoux et colliers ethniques
A gauche : « Une averse à Métalanim », gravure sur bois en couleurs, Ponape, Est Carolines – Paul Jacoulet, Octobre 1935, A droite : « Le nautilus », gravure sur bois en couleurs, Yap – Paul Jacoulet, 1958 © Musée du quai Branly, photos Claude Germain © ADAGP, Paris 2013
Les coquillages, coraux et écailles de tortues utilisés pour leur fabrication figurent parmi les principales richesses locales. Les parures sont également composées de cheveux, dents d’animaux, plumes, fleurs…
Collier et bijou de tête ethnique
A gauche : « Un homme de Yap », gravure sur bois polychrome, Ouest Carolines – Paul Jacoulet, novembre 1935 – Donation Paul Jacoulet, A droite : « Mio le sourd. Elégant de Rul », crayon et aquarelle sur papier, Ouest Carolines – Paul Jacoulet, 1935 – Donation Paul Jacoulet © Musée du quai Branly, photos Notes Précieuses
Certaines sont entièrement végétales et relèvent de techniques  sophistiquées de nouage et de vannerie. Si les perles en verre d’origine européenne, principalement les bleues monochromes, étaient très prisées, les pierres naturelles étaient rarement utilisées.
Collier de perle
A gauche : « Portrait de Tomassa. Jeune indigène de Jaluit », crayon et aquarelle sur papier, Série Fleurs des Tropiques – Paul Jacoulet, 1932, A droite : « Portrait of a Chamorro Woman. Green », gravure sur bois en couleurs, Rainbow Series – Paul Jacoulet, décembre 1934 © Musée du quai Branly, photos Claude Germain © ADAGP, Paris 2013
En Océanie, au delà de leur valeur esthétique, les parures corporelles – tatouages, vêtements, bijoux et autres objets de prestiges – ont un rôle symbolique : elles renforcent spirituellement leur propriétaire. Elles fournissent également à l’ensemble de la société des informations sur le statut de celui ou celle qui les porte, son âge, son niveau social, voire son mérite.
Bijoux ethniques
A gauche : « Le grand chef Saragan et son esclave Forum », crayon et aquarelle sur papier, Tomil, Yap. South Seas – Paul Jacoulet, 1941, A droite : « Le jeune chef Saragan et son esclave Forum », gravure sur bois en couleurs, Tomil, Yap – Paul Jacoulet, mars 1949 © Musée du quai Branly, photos Claude Germain © ADAGP, Paris 2013
Après un combat victorieux, par exemple, un chef pouvait recevoir un bracelet en os qui lui conférait un statut supérieur à celui des autres chefs. L’ornement de chevelure jouait un rôle primordial et les peignes étaient très élaborés et décorés.
Bijou de tête ethnique
A gauche : « (Tatou) Santiago, jeune indigène de Yap », crayon et aquarelle sur papier, Ouest Carolines. South Seas – Paul Jacoulet, 1935, A droite : « Jeune indigène d’Oléaï », crayon et aquarelle sur papier, Ouest Carolines. South Seas (Série Papillons) – Paul Jacoulet, 1935 © Musée du quai Branly, photos Claude Germain © ADAGP, Paris 2013
Traditionnellement, le port des bijoux est ici indissociable des danses cérémonielles qui accompagnent les moments forts de la vie sociale.
Tatouage ethnique
A gauche : « Portrait de Ramon, homme de Gorior », crayon et aquarelle sur papier, série Pirogues. Fait à Palaos. South Seas – Paul Jacoulet, 1933, A droite : « Jeune homme de Fais (Ouest Carolines) tatoué »,  crayon et aquarelle sur papier, série Insectes. South Seas – Paul Jacoulet, 1935 © Musée du quai Branly, photos Claude Germain © ADAGP, Paris 2013

Le tatouage comme parure corporelle

La Micronésie a connu de forts changements culturels au cours de la première moitié du XXème siècle. La tradition du tatouage, notamment, tendait déjà à disparaître lorsque Paul Jacoulet visita la région.
Parure corporelle ethnique
A gauche : « Jeune femme de Kusaie », crayon et aquarelle sur papier, série Tatouages. Est Carolines – Paul Jacoulet, 1939, A droite : « Femme tatouée de Falalap », gravure sur bois en couleurs, Ouest Carolines – Paul Jacoulet, juillet 1935 © Musée du quai Branly, photos Claude Germain © ADAGP, Paris 2013
C’est grâce à ses relations personnelles nouées avec les autochtones qu’il a eu accès à l’imagerie intime des tatouages. Au-delà de leur dimension artistique, ses séries réalisées à l’aquarelle et à la mine de graphite constituent aujourd’hui un témoignage iconographique unique.
Bijou ethnique
« Jeune indigène d’Oléaï », crayon et aquarelle sur papier, série Papillons, Ouest Carolines. South Seas – Paul Jacoulet, 1935 © Musée du quai Branly, photo Claude Germain © ADAGP, Paris 2013

La faune et la flore

Paul Jacoulet puisait également son inspiration dans la nature. Il a rassemblé une imposante collection de papillons – 30 000 spécimens ! – dont les couleurs brillantes et l’élégance éthérée exprimaient son idéal de beauté. Il a toujours aussi été fasciné par l’esthétique des plantes, fleurs et arbres fruitiers qui incarnaient à ses yeux la beauté fragile et transitoire de la vie.
Colliers ethniques
« Le bétel. Jeune homme de Tomil. Portrait de Houfass », crayon et aquarelle sur papier, Yap, South Seas – Paul Jacoulet, 1939 © Musée du quai Branly, photo Claude Germain © ADAGP, Paris 2013

Paul Jacoulet

Artiste voyageur Paul Jacoulet a produit une œuvre originale. Arrivé au Japon à l’âge de trois ans, en 1899, il a été initié par deux maîtres de la peinture classique japonaise.
Bijoux et parures ethniques
A gauche : « L’Etoile de Gobi, Mongole », gravure sur bois polychrome – Paul Jacoulet, 1951, donation Paul Jacoulet, A droite : « Portrait de Raoun de Rull », Yap, Ouest Carolines – Paul Jacoulet, 1933 – Donation Paul Jacoulet  © Musée du quai Branly, photos Notes Précieuses
Durant toute sa carrière, guidé par sa passion pour les modes d’expression artistiques japonais, il a porté une attention particulière à la qualité et à la composition des pigments de couleur. Il a aussi utilisé des matériaux naturels, souvent précieux, tels la poudre de perle ou le mica, pour magnifier la réalité. Il a su manier le crayon avec une particulière habileté.

www.quaibranly.fr/



miércoles, 31 de julio de 2013

Una exposición itinerante actualmente en Cuellar - Segovia


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Temática expositiva:
  1. VII siglos de trajes de novia
  2. VII siglos de peinados de ceremonia
  3. Vestimenta de la mujer desde el bautizo hasta el luto
  4. El traje de vistas (traje de novia mas emblemático de España
  5. Evolución de la ropa interior desde los pololos hasta el tanga
  6. Arte pastoril y artesanía femenina
  7. Joyas y alhajas en la cultura popular

Audiovisuales: 
Asíi se vestían y se peinaban las novias
Antiguos rituales de novia

Las Edades de la Mujer